Des notes des plus belles

Hannah fessée par SpankMaster

Mon petit nom est Hannah et si j’écris aujourd’hui, c’est pour conter ce qui m’est arrivé. Vous savez, je ne suis que peu douée pour les études, mes notes sont honteuses, voire catastrophiques et c’est pour cela que je ressens le besoin de tout dire.

Étudiante en BTS COMMUNICATION, depuis Septembre 2020 et âgée de 19 ans, je me fais coacher par Monsieur depuis Octobre de la même année. C’est à cette période là que j’ai décidé qu’une prise en charge était nécessaire, car comme dit plutôt, je ne suis vraiment pas douée dans les études, et encore moins depuis que ma phobie scolaire est présente. Pour être honnête, rien n’est simple, et c’est bien pour cela que je veux changer les choses. Certes, je l’avoue, nous nous voyons que rarement, dû à la distance qui nous sépare, mais les choses restent les mêmes, c’est un coach hors-pair, sévère mais juste, adorable, qui prend soin de moi, m’écoute quand cela ne va pas et surtout très attentif. Sincèrement, j’aime qu’il prenne soin de moi, car il joue un rôle important dans ma vie. En cette première année un peu plus chaotique, que je pensais réussir correctement, il a été présent pour moi, car je me suis relâchée après les vacances d’automne. En réalité mes études ne m’intéressaient plus du tout. Et ce n’est qu’un mois après que j’ai commencé à craquer : je ne travaillais plus et mes notes ont drastiquement chuté, mais honnêtement, j’en étais totalement indifférente.

Mais parlons peu, parlons bien, en cette fin d’année scolaire puisque nous sommes maintenant en août. J’ai eu avant de ne partir en stage en mai, un BTS BLANC, et autant être franche… Les résultats ne sont pas glorieux, mais alors vraiment pas. Ils sont même catastrophiques, heureusement pour moi que je ne fais pas ma deuxième année, car je pense que j’aurai été servi autant en punitions qu’en très mauvaises notes (je vous rassure, je ne redouble pas, j’arrête simplement !). Seulement…, ce qu’il faut savoir, c’est que parmi mes résultats à mes épreuves, il y a eu un 2/20 en Management et pour cela… J’ai été drôlement puni. Comment cela s’est passé ? C’est simple, bulletin en main, porte de chambre fermée, je me suis approchée de lui, et pendant qu’il descendait petit à petit mon short, je lui lisais mes notes du deuxième semestre, mes moyennes et les appréciations de mes professeurs.

— 9,4 en culture de la communication…
— Quoi ? Même pas 10, ouh…C’est mauvais ! Dit-il.

Pour une fois, je faisais moins la maligne et ne dis rien, en continuant la lecture, j’eus un gros câlin pour mon 19/20 de moyenne en Espagnol, mais ce fut le seul, puisque les autres notes suivirent très rapidement. Arrivée à ma moyenne de Management et au détail de celle-ci, il baissa entièrement ma culotte et m’assena une forte claque sur les fesses. Quand je fus vers la fin du bulletin, et que je donnais mon 7,6/20 de moyenne en projet de communication et le commentaire déplaisant de ma professeure, il me mit face à lui.

— C’est inacceptable. Tu t’en rends compte ?
— Non !
— C’est moi qui décide si tes résultats sont acceptables ou non.
— …
— Tu sais ce que tu mérites ?

La tête basse, je réponds timidement.
— Une fessée…
— Oh oui, une grosse fessée déculottée. Et tu sais ce que je t’ai promis !
— Oui… Tous les instruments… Et dans toutes les positions…
— Bien, installe toi sur mes genoux !

Dans mes pensées, je ne compris pas tout de suite ce qu’il me demandait, car, il est vrai que depuis le début d’après-midi, une boule au ventre ne cessait d’exister. Je savais ce qui m’attendait. Alors, je le fixais timidement, puis revenant à moi et ne voulant pas le contrarier plus, j’obéis très rapidement, mais très réticente. C’est légèrement tendue que je m’installe, et sans me laisser le temps de prendre mon souffle, le voilà en train de commencer ma punition. Il tape fort durant plusieurs minutes puis, se lève part chercher d’autres instruments et m’inflige le même châtiment avec chacun d’entre eux.

Je gigote beaucoup, couine doucement, et quand vient le tour de la canne, je sais que la punition touche à sa fin, mais honnêtement elles (car il en a trois différentes) et moi ne sommes vraiment pas amies. On se déteste. Enfin, je les déteste. Pour moi, ce sont les instruments du démon. Les pires qui puissent exister et c’est bien pour cela que je ne les reçois que lorsque grosse bêtise est faite. Dès l’instant où il commence, avec la plus fine, je grimace tout en gardant en mémoire que ce n’est pas la pire et surtout que la douleur n’est que moindre face à la plus épaisse. Celle-ci, finira de cuire mon derrière déjà bien douloureux. À cette pensée, il enchaîna alors avec la moyenne, puis pour conclure usa de la plus épaisse. À celle-ci, je vous le dis, je suis vraiment peu fière et je ne fais vraiment plus la maligne. Cette fessée, je sais qu’elle était méritée, mais autant dire que je vais m’en souvenir longtemps, tant mes fesses me brûlent. Il est clair que je ne recommencerai plus d’aussi grandes fautes. Qui plus est, ce n’est pas la dernière punition que j’ai reçue, alors autant dire que les suivantes sont venues appuyer la douleur de celle-ci.

Quand elle se termine enfin, après les dix minutes de coin qui suivirent, il m’annonce que j’ai été puni durant une heure tenant. Surprise, je grimace et me dis que ce n’est pas possible, parce que je n’ai pas senti l’heure passer, mais pourtant si. Sur cette élocution, je m’assois sur ses genoux en grimaçant, lui fais un énorme câlin de pardon et enfouis ma tête dans son cou en lui promettant de ne plus jamais recommencer.

— Tu as eu ce que tu méritais, maintenant tu es pardonnée. N’en parlons plus.