Hôtesse de l’air

Alice fessée par SpankMaster

Après un confinement déprimant au printemps, Alice me rejoint en ce début d’été 2020 et nous ne résistons pas à l’envie de jouer un nouveau scénario. Nous sommes à bord d’un avion de ligne. Alice est une hôtesse de l’air novice et je suis le commandant de bord.
(Toute la partie se déroulant à bord de l’avion est évidemment fictive.)
Nous avons décollé de P
aris depuis 2h et l’avion est maintenant en croisière. Mon copilote et moi-même surveillons la trajectoire maintenue par le pilotage automatique et assurons les communications radios avec le contrôle aérien. Il est maintenant l’heure du déjeuner, nous appelons donc le personnel de cabine pour demander nos plateaux repas. C’est Alice qui répond à l’interphone. Elle nous demande quel menu nous souhaitons manger puis m’informe que le service ne devrait pas tarder.

Quelques minutes plus tard, la ravissante hôtesse en uniforme entre dans le poste de pilotage pour nous servir. Une turbulence secoue alors notre Airbus A330. Une hôtesse expérimentée aurait instinctivement compensé le mouvement de l’appareil sans même s’en rendre compte, mais pas elle. Les canettes de coca ouvertes glissent de son petit plateau de service et tombent sur la moquette du cockpit ! Je lui fais les gros yeux, elle n’est pas fière. Elle en amène deux autres, sans les faire tomber, puis disparaît sans dire un mot. Une autre hôtesse, Maeva, lui explique que je suis un commandant sévère, que je ne supporte pas l’imperfection sur mes vols, et que j’ai l’habitude de donner la fessée aux mauvaises hôtesses après l’atterrissage. D’ailleurs elle sait de quoi elle parle puisqu’au cours de la dernière escale elle a elle-même reçue une sacrée fessée jusqu’aux larmes pour insubordination. Alice hallucine, elle n’ose y croire, une fessée ? Sérieusement ? Cette discussion occupe les 2 hôtesses pendant une partie du vol. Alice apprend pleins de détails qui lui glacent le sang. Ce sera une fessée déculottéeelle n’en croit pas ses oreilles – allongée sur les genoux du commandant… Et il utilise un instrument redoutable : le paddle. Alice ignore ce que c’est. Maeva lui explique que c’est une sorte de planchette de bois épaisse, percée de plusieurs trous au milieu, qui mord particulièrement bien les fesses. Alice prie pour que tout cela soit complètement faux. Elle se dit que c’est un bizutage, que ce n’est pas possible autrement, qu’il ne se passera rien en réalité.

Arrivés à l’hôtel, les membres d’équipage rejoignent leurs chambres. J’accompagne Alice jusqu’à la sienne. Nous sommes encore en uniforme. Nous entrons dans sa chambre… Elle ne sait pas trop quoi faire, elle réalise que la collègue n’a pas menti, que la fessée va avoir lieu. Quel cauchemar ! Elle ne bouge plus et me fixe avec des yeux inquiets.
Assis sur la chaise, j’attrape son bras et la tire vers moi. Elle n’oppose pas de résistance et bascule sur mes genoux. Je fesse à la main, sur l’uniforme.

Après un rapide échauffement, je relève la jupe et tape son shorty. Cette jeune femme étant nouvelle dans la compagnie, je décide de m’en tenir à une correction à la main, lui épargnant ainsi le paddle pour cette fois. Ne pouvant tout de même pas être laxiste, je la déculotte pour lui administrer une longue fessée forte et rythmée.
Les émotions se bousculent chez Alice, elle est bouleversée par ce qui lui arrive. Elle n’imaginait pas l’escale comme ça ! Après
ce châtiment corporel qu’elle a encaissé sans oser broncher, elle se relève. Je lui dis alors que la prochaine fois, ce sera avec le paddle, que je sors de ma sacoche de vol pour lui montrer. L’hôtesse fait les yeux ronds ! Elle jure de ne plus jamais être maladroite dans l’avion.

Je l’abandonne dans sa chambre, les fesses bien chaudes...