La bouteille de vin

Alice fessée par SpankMaster

Nouveau scénario avec Alice, aujourd’hui nous recevons des amis pour faire un barbecue sur ma terrasse. Alors que je sors faire quelques courses, Alice a une idée en tête : renommer une des bonnes bouteilles de ma cave à vin en « Piquette ». Elle a parfaitement conscience que c’est risqué pour ses petites fesses puisque si je m’en aperçois elle aura gagné une punition exemplaire.
Elle ouvre donc la cave à vin et sort
la bouteille que j’ai prévu d’ouvrir ce midi pour commencer son méfait. Elle utilise un autocollant et un stylo rouge pour recouvrir l’étiquette originale de la bouteille. Douée en calligraphie, elle arrive à imiter parfaitement le style d’écriture d’origine et son stylo a exactement le même rouge. L’illusion est parfaite, aucun détail ne saute aux yeux. Fière de sa bêtise, elle remet la bouteille à sa place…

Bouteille de piquette
Alice fait une bêtise...

Une heure plus tard, alors que nos invités doivent arriver sous peu, je sors la bouteille pour l’ouvrir afin que le vin s’aère et remonte à température ambiante. Dans un premier temps, je ne remarque rien et Alice rigole intérieurement « Il va passer pour un con ! Trop marrant ! ». Alors que j’attrape machinalement le tire-bouchon, mes yeux tombent sur l’étiquette… Après un instant d’incompréhension, je réalise la supercherie et n’ai aucun doute sur l’identité de la coupable. Alice passant près de moi, je l’attrape fermement par le bras et la conduis jusqu’à la cuisine pour lui montrer la bouteille :
– « Tu espérais vraiment que je ne m’en rend
e pas compte ? »
– « Ca a faillit marcher ! » dit-elle avec un ton malicieux.
– « Ca suffit, tu vas recevoir une fessée ! »
– « Oh nooooonnn pas la fessée…. »
dit-elle, en tapant du pied par terre et en faisant la moue…
– « Oh si ! Viens par là ! »
Dis-je en donnant quelques grosses tapes par dessus son pantalon.
Je l’emmène
alors dans mon bureau à l’étage où je m’assois sur la chaise et la bascule immédiatement sur mes genoux. Je commence par la fesser à la main, par dessus son treillis militaire. Elle ne bronche pas et fait semblant de ne rien sentir. Agacé, je descends son treillis et sa culotte. Je reprends ensuite la fessée en tapant nettement plus fort… 

Mais je n’ai pas le temps de finir car la sonnette de la porte d’entrée retentit… Impossible de continuer la punition.
– « Remonte ta culotte et ne laisse rien paraître aux yeux de nos invités. Et tu connais la règle dans cette maison: toute fessée donnée dans la journée donnera lieu a une fessée au moment du coucher ».
– « Oui Monsieur ! »