La couche

Abi fessée par SpankMaster

Nous sommes vendredi soir, Abi m’informe par texto qu’elle passe chez elle se changer avant de venir passer le week-end chez moi. Ravi de l’accueillir, je file faire des courses pour lui cuisiner ses plats préférés. Le week-end s’annonce fort agréable et j’espère au fond de moi qu’elle fera quelques bêtises, histoire que je puisse lui donner des bonnes fessées…

Elle arrive vers 19h, déguisée en écolière: chemisier blanc, cravate rouge, jupe à carreaux rouges, chaussettes blanches et, évidemment, la sacro-sainte culotte blanche en coton.
Je saute de joie à l’idée de ce que ce déguisement annonce, et je contemple ma petite Abi que cet uniforme met bien en valeur.
On commence par prendre l’apéro, on parle de choses et d’autres, puis je lui dis que son uniforme lui va à ravir…
– « Je l’ai mis pour toi, je sais que tu aimes… Et aussi parce que j’ai été une vilaine fille… »
– « Ah bon ? C’est à dire ? Ne me dis pas que t’as eu une mauvaise note ? »
– « Justement si, j’ai eu 6 en maths… Et j’ai été virée de cours pour insolence… »
– « J’espère pour tes fesses que tu plaisantes ! »
– « Ben non… »

Je me lève et l’attrape par le bras, la forçant à se lever aussi. Je serre fort son avant-bras, me rapproche d’elle pose mon autre main à plat sur ses fesses, puis le lui chuchote à l’oreille « Tu vas me suivre dans la chambre sans faire d’histoire, je vais relever ta jupe et baisser ta culotte, et tu vas recevoir ce que tu mérites. »
Elle ne répond rien mais je sais que la pression monte à fond, son cœur accélère, ses émotions se bousculent… Elle est partagée entre la peur et le désir. Elle suit le mouvement sans résister, jusqu’à ce que je décide de faire un crochet par la salle de bain. Elle sait très exactement pourquoi : je passe chercher la brosse à cheveux. Une grosse brosse en bois, large et plate, qui punie très efficacement. Elle sait très bien que, si elle a la chance de résister à ma main, elle pleurera à coup sûr avec la brosse. Elle n’est pas fière du tout ! Elle tente de résister mais je la tire de force dans la salle de bain pour attraper cette maudite brosse.
Nous reprenons notre route et arrivons dans la chambre. Je lui ordonne de fermer la porte pendant que je m’assois sur le lit.
– « Viens debout face à moi ! »
Elle s’exécute et avoue ses fautes sans que je n’ai à le demander, preuve que nous nous connaissons par cœur.
– « J’ai été vilaine, je mérite d’être punie comme une petite fille… avec une fessée déculottée. Je te demande pardon. »
Je relève sa jupe, qu’elle tient spontanément dans cette position, puis je saisis sa culotte, que je ne baisse pas tout de suite.
– « Non seulement tu vas recevoir une sacrée fessée, mais en plus, vu tes insolences en cours, je vais te mettre une couche comme à un bébé. »
– « Noooonnnnn s’il te plait ! » dit-elle en faisant la moue.
– « Ca suffit ! Tu le savais très bien ! » Dis-je, avant de baisser sèchement sa culotte jusqu’à mi-cuisses.

Elle s’allonge sur mes genoux, je prends quelques secondes pour admirer ses belles fesses blanches, comme d’habitude, puis je commence la fessée. Elle ne bouge pas, elle essaye de paraître insensible. Je sais très bien que ce n’est pas le cas et que d’ici une dizaine de claques elle va commencer à bouger. Mes prédictions se révèlent exactes : elle commence à danser sur mes genoux. J’adore ses mouvements de bassin, qui mettent encore mieux en valeur ses fesses. Je continue à fesser sévèrement, accentuant se faisant la danse qu’elle m’offre.
Après plusieurs minutes, je m’arrête et pose la main à plat au centre de ses fesses chaudes, sans rien dire. Elle sait, par expérience, que ce n’est pas fini, que mon silence n’annonce pas une série de bisous mais plutôt quelque chose comme de la brosse allongée nue sur le lit par exemple. Je garde mon silence et ma main posée, pendant de longs instants, pour que la pression monte en elle. Ses fesses ont cessées de danser, Abi est redevenue immobile, sa respiration ralentit, elle profite de cette pause avant la brosse. Je lui dis sur un ton calme mais ferme :
– « Allonge toi sur le dos et lève les jambes. »
– « Oh non pitié, pas en diaper ! » dit-elle en faisant les yeux doux.
– « Exécution ! »

Résignée, sachant très bien que toute résistance aggraverait la sanction, elle quitte mes genoux et s’installe comme je le lui ai demandé. J’attrape le haut de ses cuisses pour la maintenir en place et je saisis la brosse de l’autre main. Ce coup-ci elle le sait, elle va pleurer et gigoter parce que la brosse ça fait très mal. Je tape avec précision sur chaque fesse, prenant soin de bien appliquer la brosse partout, sans oublier la moindre surface. Abi bouge énergiquement en pleurant mais je la maintiens en place ! Je ne fais pas une fessée trop longue, je souhaite économiser son fessier parce que j’entends bien y jouer tout le week-end. Après une vingtaine de coups harmonieusement répartit, je lâche ses jambes et ordonne :
– « Va me chercher une couche et le talc, que je t’humilie en te traitant comme un bébé. »
– « Maiiisssss… noooonnnnn… s’il te plait….. »
– « Dépêche-toi où on recommence avec la brosse ! »
– « Non non c’est bon j’y vais ! » Dit-elle en se levant.
Avant de la laisser filer à la salle de bain, je retire sa jupe et sa culotte, qui nous gêneraient pour la couche. Je la regarde s’éloigner, puis revenir.

J’étends la couche sur le lit, puis ordonne à Abi de se positionner comme il faut dessus. Elle sait très bien ce qu’il faut faire, ce n’est pas la première fois que ça arrive ! Elle s’allonge donc, le haut de la couche dans le bas du dos, puis écarte ses jambes pour que je puisse talquer et fermer la couche.
Je saupoudre un peu de talc sur son sexe intégralement épilé, que j’étale doucement avec la main, en savourant cette peau bien lisse. Elle lève ensuite les jambes puis je talc la raie des fesses. Je ferme ensuite la couche et je la relève. Nous allons passer à table et elle va manger en couche, qu’elle pourra ensuite enlever avant de regarder le film…

Ce jour là, une nouvelle idée me vient en tête ! Une idée qui ne deviendra systématique que des années plus tard, mais qui sera mise à exécution ce soir là : chaque fessée donnée dans la journée donnera lieu à la même fessée au moment du couché. Je l’annonce à ma douce Abi qui ne manque pas de faire la tête à l’idée d’en reprendre une dans quelques heures, sur ses fesses déjà bien cuites.
Au moment du couché, après la douche et la mise en pyjama, alors qu’Abi est déjà dans le lit, je retire la couette et baisse son pantalon de pyjama… Elle sait ce qui l’attend… La punition sera cuisante et la nuit passée dans mes bras sera un doux réconfort.
Le reste du week-end sera « fessetif » !