La mauvaise note

Abi fessée par SpankMaster

Je m’appelle Abigaëlle. En cette année 2009, j’ai 20 ans et ça fait un peu plus d’un an que Spankmaster me coach dans mes études. En effet, n’étant pas une très bonne élève et mes parents étant souvent absents, j’ai décidé de prendre les choses en mains… Ou plutôt, de me faire prendre en main par quelqu’un qui saura me mettre au travail. Je le vois donc assez régulièrement et, lorsque je le mérite, il me puni sévèrement, jusqu’aux larmes. Je crains les fessées qu’il me donne et en même temps il est toujours présent quand j’ai besoin de lui, il est attentif à mes besoins, généreux avec moi, toujours là pour moi. J’aime qu’il s’occupe de moi.

Je redouble ma deuxième année de BTS et je vais être coachée tout au long de l’année. J’ai reçu la veille de la rentrée une sacrée fessée déculottée en guise de « preview » de ce qui m’attendait si je m’avisai de manquer de concentration dans les études. C’était il y a un peu plus d’un mois et je m’en souviens très bien, j’en ai encore les fesses chaudes rien que d’y repenser tellement ça a bardé. Aujourd’hui, on nous rend la première note de l’année. C’est avec la boule dans le ventre que j’attends ma copie… La prof d’anglais s’approche et me dit « Abigaëlle, huit sur vingt, c’est insuffisant ! » Immédiatement, ma gorge se serre et je sais que ce soir je vais pleurer. Je n’arrive plus à me concentrer de la journée, la fessée qui m’attend me trotte dans la tête et me bouleverse. J’ai à la fois peur, envie, honte, mon sexe dégouline de désir… Je suis submergée d’émotions contradictoires que j’ai du mal à gérer.

Je rentre chez moi à 17 heures et informe mon coach par téléphone qu’il faut que je passe chez lui dans la soirée. Il me dit de venir pour 20 heures. En attendant, je décide de me faire belle et m’enferme dans la salle de bain pour un long moment…
J’arrive donc chez lui à 20 heures. Il n’est pas encore au courant du motif et est gentil avec moi, il m’offre un verre et on parle un peu… On plaisante, l’ambiance est chaleureuse, j’aime vraiment passer du temps avec lui. Mais ce soir je ne suis pas venue pour ça hélas, et je me décide enfin à aller chercher ma copie. Je la lui tends, il la saisie, regarde la note puis ajoute :
– « 8 ! De qui est ce que tu te fiches ? »
– « De personne… Ce n’était pas facile ce contrôle… J’avais révisé »
– « Les mauvaises excuses mènent au redoublement et tu le sais très bien ! Ce n’est pas une note acceptable ! On a déjà parlé des conséquences qu’auraient une telle note, n’est-ce pas ? »
– « oui… » Dis-je tout bas en baissant les yeux… Je ne suis pas fière du tout
– « Baisse ton jean et ta culotte et attends-moi les mains sur la tête pendant que je vais chercher le paddle. » Dit-il en partant dans son bureau.

Honteusement, je déboutonne mon jean puis le baisse, ainsi que ma culotte, jusqu’à mes chevilles. Je mets ensuite les mains sur ma tête. Me voilà exposée au milieu du salon, la peur au ventre. J’ai vraiment honte, je sais que dans quelques instants je vais pleurer à chaudes larmes pendant une bonne fessée à l’ancienne. Tout mon corps tremble, mes mains sont moites, mes boyaux font des nœuds… Mais les minutes passent et il ne revient pas… Je sais qu’il joue avec nerfs et me laisse volontairement dans cette attente insupportable. Il sait que la torture psychologique est très efficace sur moi, voire même autant que le châtiment corporel. Le temps passe lentement, et je suis toujours vouée à moi-même, debout, l’intimité à l’air… Ma peur fini par avoir le dessus et, au bout d’un bon quart d’heure, je me mets à pleurer, toujours les mains sur la tête. Il revient alors, paddle en main. Un gros paddle en bois, épais avec des trous au milieu.
« Regarde- moi dans les yeux, Abi » Je lève alors les yeux vers lui.
Il ajoute « Tu sais bien que tu le mérites, je fais ça pour ton bien. Alors maintenant je t’écoute, demande-moi, à haute voix et en articulant ».
Je sais ce que je dois dire, une phrase qui me fait vraiment honte et qui m’arrache la bouche « J’ai été une vilaine fille, je mérite une bonne fessée déculottée ».

Il m’attrape alors par le bras et me tire jusque dans la chambre. Il ferme la porte puis s’assied sur le lit. Je m’allonge sur ses genoux sans faire d’histoire. La fessée commence immédiatement, sans me laisser le temps de respirer. Il frappe fort, je pleure toutes les larmes de mon corps. La fessée est longue et cuisante, je danse sur ses genoux au rythme des coups. Après cette sévère fessée, il me relève puis m’accompagne au coin.
– « Tu as été punie pour ta mauvaise note. Maintenant tu restes ici sagement jusqu’à ce que je vienne te rechercher. Les mains sur la tête, déculottée. Tu as compris ? »
– « Oui »
– « Ensuite on s’installera à mon bureau et tu referas le test d’anglais. Comme vous avez eu la correction en cours, tu feras un sans-faute. »

Moi qui était rassurée que ce soit fini, sa dernière phrase me glace le sang. Il compte vraiment me faire refaire ce contrôle ? Et si je ne fais pas un sans-faute que se passera-t-il ? Quand j’ai vu ma note ce matin, je n’arrivai plus à me concentrer, je n’ai absolument pas suivi la correction des exercices, je ne sais rien faire… dix minutes plus tard il revient, il me reculotte puis on s’installe au bureau où il me redonne le même polycopié qu’il a pris le temps de recopier pendant que je l’attendais au salon tout à l’heure. J’ai du mal à m’assoir sur la chaise. Mais il se rend rapidement compte que je ne sais toujours rien en anglais.
– « C’est archi faux ce que t’es en train d’écrire ! Tu n’as pas écouté la correction ou quoi ? J’aimerai bien que tu te concentre pendant les heures de cours, c’est totalement inacceptable ! Je suis désolé mais tu vas recevoir une autre fessée, lève-toi ! »
– « Mais je… Attends non… Je te promets de faire mieux la prochaine fois »
– « T’as intérêt ! Allez, debout ! »
Je me lève en fondant en larmes. J’ai déjà les fesses bien rouges et je vais recevoir une deuxième fessée, ça va faire mal !
– « Cette fois-ci je vais te punir avec la brosse ! Allez, mets-toi complètement nue. »
– « Quoi ? Comment ça complètement ? »
– « Oui, tu enlèves ta culotte, ton soutien-gorge, tes chaussettes…. Enfin tout ! Allez ! Dépêche-toi ou c’est moi qui le fais à ta place. »

N’osant pas me déshabiller, je le fixe dans les yeux. Il met alors sa menace à exécution et me déshabille. Il commence par enlever mes chaussettes, puis enlève mon pantalon et ma culotte qu’il jette sur le lit. Il retire ensuite mon T-shirt puis mon soutien-gorge. Il me penche ensuite en avant, sous son bras. Il attrape la brosse à cheveux qui était déjà présente sur le bureau puis frappe fort mes petites fesses. Je sens mes jeunes seins nus se balancer au même rythme que la brosse à cheveux sur mon postérieur. J’ai tellement mal que je ne tiens plus debout et je m’effondre. Il me ramasse alors et me prends sur ses genoux pour faire voler la brosse sur mon fessier. Je pleure très fort. La punition est très dure. J’en ai l’esprit vide, je ne pense plus à rien, je vie l’instant présent, seconde après seconde, coup après coup… Enfin la fessée s’arrête. Il me relève alors péniblement et me serre contre lui :
– « T’as eu ce que tu méritais, mais je t’adore ! Allez, rhabille-toi et va te coucher parce que demain il y a école. »

C’est avec les fesses douloureuses et la culotte mouillée que je rentre chez moi, avant de me donner un triple orgasme avec mon vibromasseur. Quel délice !