La rentrée scolaire

Abi fessée par SpankMaster

C’était la veille de la rentrée scolaire 2009 (évoquée son récit « La mauvaise note »). Je lui ai demandé de passer me voir pour qu’on fasse un petit briefing pour l’année à venir. Une fois chez moi, on s’assoit autour de la table et on parle sérieusement. Je lui dis qu’elle va devoir travailler toute l’année, que les sorties et les conneries c’est terminé, et que malgré ses 20 ans, je jouerais le rôle d’un père sévère qui regardera de près son bulletin scolaire. On se met d’accord que tout au long de l’année, elle sera « ma fille » et qu’elle se comportera comme telle. Elle s’habillera donc sobrement, elle viendra avec son cartable et son carnet de correspondance. Tout ce que son vrai père signe, je veux le voir. A partir de maintenant et jusqu’à juin, finies les tenues sexy, fini les shortys et fini le vernis à ongle. Elle aura une culotte en coton. Elle me dit qu’elle ne sait pas si elle va réussir à avoir toujours les notes que j’exige et je décide donc de lui administrer une sacrée fessée déculottée en guise de preview de ce qui l’attend si elle ne se concentre pas dans ses études. Elle frissonne de peur à l’idée de ce qui l’attend, elle sait que quand je parle d’une « sacrée fessée » c’est que ça va vraiment barder.

Je l’attrape par le bras et je l’emmène dans la chambre. Elle cache son visage derrière ses cheveux, ne parle plus. Je la mets au coin. Je laisse la pression monter en elle et je la regarde tortiller délicieusement ses petites fesses dans son jean moulant. Au bout de 10 bonnes minutes, je lui ordonne « Va chercher la brosse à cheveux et viens devant moi ». Elle s’exécute et va dans la salle de bain chercher la grosse brosse en bois. Elle revient et me la tend, la boule au ventre. Je lui dis « tu sais, c’est pour ton bien, c’est important que tu aies ton diplôme à la fin de l’année. » Elle me répond « oui, je sais… ». Je déboutonne lentement son jean que je lui enlève entièrement. Je lui enlève ensuite sa petite culotte que je lui mets dans la main. J’ajoute « tiens, prends ta culotte dans ta main et garde la pendant la fessée, histoire que tu aies bien conscience de ce qui t’arrive. ». Elle baisse les yeux, elle a honte, mais elle obéi. Elle bascule ensuite sur mes genoux et j’enroule mon bras autour de sa taille parce que je sais qu’avec la brosse à cheveux, elle va beaucoup bouger. Je ne démarre pas tout de suite la fessée, j’attends un peu. Elle commence à pleurnicher: c’est ce que j’attendais. Je commence alors la fessée… Je frappe fort et vite, les coups font un bruit assourdissant. La fessée est sévère ! Au bout de quelques minutes, elle cesse d’opposer de la résistance. Epuisée, elle se relâche et encaisse les coups sans broncher, sans bouger… Je la remets debout puis l’allonge sur le lit et je vais chercher la cane. Elle allongée sur le ventre, les fesses rouges, la culotte en main, le chemisier relevé jusqu’aux seins… Je lui donne ensuite 10 coups de cane qui laissent des belles marques en travers de ses fesses. Ensuite je lui annonce que sa fessée est terminée mais que si elle ose avoir une mauvaise note, cette fessée sera un doux souvenir par rapport à ce qu’elle recevra. Je lui étale ensuite longuement de l’Hémoclar sur les fesses puis je la fais s’assoir sur mes genoux et je la prends dans mes bras pour qu’elle puisse se calmer. Je la serre fort, je lui fais des bisous sur les joues, je lui dis que je l’aime très fort ma fille et que je fais ça pour son bien. Elle me dit merci, que j’ai raison de la punir quand elle fait des fautes.