C’est la fin du premier trimestre. Abi vient chez moi, elle a dans les mains une enveloppe contenant son bulletin de notes trimestriel… Je lui dis qu’on va regarder ensemble et qu’ensuite elle aura ce qu’elle mérite (en récompense ou en punition). Vu la tête qu’elle fait, il semble que c’est plutôt parti pour une bonne fessée mais bon… Je lui dis de se mettre debout au milieu du salon, d’ouvrir la lettre et de lire à haute voix le bulletin dans son intégralité. Je me place derrière elle sur sa droite et je lis par-dessus son épaule pour m’assurer qu’elle ne triche pas dans la lecture. Dès la première note (07/20 en français), je pose ma main gauche sur ses fesses, encore à l’abri sous ses vêtements. Je ne dis rien, je la laisse continuer la lecture. Les notes et les commentaires des profs sont affligeants… Je ballade doucement ma main sur son fessier en lui chuchotant à l’oreille « c’est intolérable tout ça, tu vas recevoir une sacrée fessée ! ». Elle poursuit la lecture mais sa voix devient chevrotante, ses mains se glacent instantanément, elle bouge ses fesses sous ma main comme pour tenter d’y échapper… Elle parle de moins en moins fort, elle incline le bulletin sur la gauche pour je n’arrive plus à le lire depuis ma position… Elle en est à peu près a la moitié du bulletin, je m’accroupi devant elle et je déboutonne son pantalon que descends ensuite. Je la laisse lire une matière de plus puis je descends également la culotte. Je me relève et je reprends ma place initiale derrière elle en replaçant bien ma main au milieu de ses fesses nues. Ses yeux se remplissent de larmes puis elle se met à pleurer en lisant la fin du bulletin. Une fois la lecture terminée, j’engage la conversation :
– « C’est nul nul nul archi nul ! J’espère que t’as une bonne explication à me fournir ! »
– « Mais c’est dur les études, je n’y arrive pas, je fais ce que je peux… »
– « Tu sais très bien que je n’accepte pas ce genre d’excuses qui mènent au redoublement ! »
– « Je te demande pardon… Je mérite une sacrée fessée… »
– « Va me chercher l’instrument de ton choix ! »
– « Oui… »
Elle s’en va dans la salle de bain. Je la regarde marcher avec sa culotte sur les chevilles. Je contemple ses petites fesses blanches pendant qu’elle marche en luttant contre son pantalon et sa culotte qui la gênent dans ses mouvements. Elle y reste un long moment, elle hésite entre la brosse ou le paddle. En fait, les 2 font très mal et elle ne sait pas trop quoi choisir. Elle revient ensuite avec le paddle dans les mains. Je m’assois sur le canapé. Elle me tend le paddle puis je la bascule sur mes genoux. Sans attendre, je l’applique sur ses fesses. La sanction est dure, je frappe fort. Elle gigote dans tous les sens mais elle sait qu’elle le mérite. Je lui ordonne ensuite de se relever et d’aller au coin, dos au mur, mains sur la tête. Je lui dis alors qu’étant donné que c’est un bulletin trimestriel, elle recevra cette fessée tous les WE pendant le prochain trimestre. Son visage se décompose, elle a compris que ça allait chauffer toutes les semaines. Je lui ordonne ensuite de se retourner pour être face au mur. Je l’y laisse un long moment. Le rouge de ses fesses s’estompe et je décide de remédier à ce problème, elle mérite largement d’aller au lit avec les fesses rougeoyantes ! Alors je l’emmène dans la chambre et j’attrape la cane. Je lui ordonne de se mettre à 4 pattes sur le lit puis j’applique sèchement la cane sur ses fesses… Elle sursaute à chaque coup, ça fait mal ! A la fin, je lui ordonne de se mettre en pyjama et de s’assoir sur mes genoux. Bien entendu, le fait de s’assoir est douloureux pour elle. Je la serre fort dans mes bras, je lui dis qu’elle est ma fille chérie. Elle me dit que je suis un père sévère mais juste.