Angélique est le prénom que mes parents m’ont donné. Jeune fille possédée, diabolique, la fessée est mon ultime quête, exorcisme salvateur pour mon âme. Du haut de mes 20 ans tout juste révolus, je contacte un fessonaute expérimenté, non sans excitation. Cet énergumène me convoque en une Sainte Journée de l’an de Grâce 2019, dans une taverne parisienne pour une discussion fesso-centrée.

Ma bouche satanique vocalise la requête suivante: « Frappe mon cul jusqu’à ce que s’en aille le Démon, ou soit maudit ! ». Nous nous catapultons alors dans son logis pour la mise à exécution.
A peine arrivés, il sermonne le diable qui chahute en moi avant de me tirer fermement vers lui pour déballer mon blanc fessier. String enlevé, ma viande bascule sur ses genoux et sa grosse patte vient heurter mes miches. Douleur et honte s’invitent dans ma chair et mon esprit. Gesticulations, cris, larmes, je donne le grand spectacle de la souffrance. L’exquise souffrance d’une fessée gigotée que mérite la fille possédée que je suis. Ne perdant pas ma perspicacité, je sais que le bougre profite de la vue que mes mouvements inconsidérés lui offrent. Je kiff !

Enfin je me relève, mais la brosse il m’envoie chercher. Corps tremblant, je me hisse jusqu’à la table pour attraper l’objet de malheur.
Non départite d’un esprit diabolique de défiance, je me refuse à lui donner le précieux objet, tout en lui jetant des regards noirs et intimidants.
Le brave homme ne se dégonfle pas et attrape mon bras… Il fait basculer ma carcasse sur ses cuisses et m’arrache la brosse des mains pour me flanquer une volée de tous les diables. Nouvelles gesticulations dans un tonnerre assourdissant. Fessée foudroyante, abandon à mon sort, bonheur, honte, pleurs, cris, douleur, extase.

Fessée terminée, le Démon quitte enfin mon corps et mon esprit, redevenus libres.