Ma meilleure amie

SpankMaster fesse sa meilleure amie

Nous sommes en février 2020 et j’invite ma meilleure amie à passer la soirée chez moi. Je la connais depuis 20 ans. On échange beaucoup sur nos vies, nos problèmes, nos fantasmes, nos vies sexuelles etc. Chacun sait tout de l’autre. Après tout, n’est-ce pas la définition de « meilleur(e) ami(e) » ? Elle connait donc, depuis le début, toutes mes histoires de fessées. Si elle ne compte pas pratiquer (à mon grand désespoir), elle est intriguée, elle pose des questions, elle découvre un domaine qu’elle n’aurait probablement jamais imaginé. Malheureusement, elle n’a jamais souhaité essayer…
Précision utile : nous ne nous sommes jamais touchés, je ne l’ai jamais vu nue. Au bout de 20 ans, je me suis fait une raison depuis longtemps et n’espère plus la convertir à cette pratique. Je lui parle de temps en temps de mes nouvelles conquêtes mais ça s’arrête la.
Elle a aujourd’hui 35 ans, c’est une belle femme mince, sportive, blonde aux yeux verts.

Alors que nous nous apprêtons à sortir de table pour regarder un film, elle se lève et vient se dresser debout à côté de moi qui suis encore assis sur ma chaise. Je me dit intérieurement « ça serait parfait pour un déculottage dans les règles de l’art » mais je n’y compte pas une seconde. Elle me regarde dans les yeux, restant muette… Je lis dans ses yeux un trouble, son attitude est inhabituelle, je me demande ce qu’elle veut… Les secondes passent puis elle me demande :
– «  Et bien ? Tu ne baisses pas mon pantalon ? »
– «  Euh… si ! Enfin si tu veux ! Avec plaisir, mais dans quel but ? »
Ma question peut paraître ridicule mais ne l’ayant jamais touché en 20 ans, je ne comprends pas si elle veut du sexe « normal » ou une fessée. Je préfère donc clarifier ses intentions avant de partir sur un quiproquo. M’ayant toujours dit que la fessée n’était pas son truc, je suppose qu’elle entend ici avoir une relation sexuelle « normale ». Heureusement, sa réponse est claire :
– «  Avec toutes tes histoires… Finalement je veux une fessée, enfin si tu veux bien… »
– «  Alors on va plutôt jouer un petit scenario, il faut mettre la fessée en scène, avec un contexte, sinon il y a des chances que tu trouves ça ridicule. »
– « Pas besoin de fausse excuse, en fait j’ai trompé mon mec la semaine dernière… Je n’ai pas la conscience tranquille, je sais que c’est mal ! J’ai besoin de me sentir punie pour tourner cette page, il faut que j’expie cette faute… Donne-moi une fessée avec sévérité, sans pitié. Je la mérite. »
– «  Je comprends mieux ce changement d’avis soudain ! D’accord, je vais te donner une punition : une sacrée fessée déculottée ! »
– « Ah tu vas aussi baisser ma culotte ? Pas seulement le pantalon ? »
– « Ca ne t’as pas étouffé d’être toute nue avec ton amant hein, alors oui, je vais baisser ta culotte pour expier cette faute. »
– «  D’accord… » dit-elle à voix basse, toute penaude.
Elle est mal à l’aise, elle fuit mon regard, elle a honte (de la fessée à venir comme de sa faute passée). Je l’accompagne au coin et je lui dis de réfléchir à ses actes, qu’elle va y rester un moment et que quand elle aura bien réfléchit, elle viendra énoncer à haute voix « j’ai fait une grosse bêtise et je mérite une fessée déculottée. »
Je patiente 10 minutes environ, pendant lesquelles je l’observe : elle est tendue, elle respire vite, elle se tortille, elle regrette sa demande à mon avis, mais c’est trop tard ! Je déplace la chaise au milieu du salon et je m’assois en attendant qu’elle se décide… Finalement elle s’approche tête baissée, pas fière, à petits pas, elle marmonne « je mérite une fessée… ». En temps normal (avec une « vraie » amatrice) je lui aurais fait répéter la phrase entière, plus fort, en articulant. Mais ma pote n’étant pas une amatrice à proprement parler, je laisse passer cette phrase incomplète vaguement marmonnée… Je lui dis juste « ça oui, tu la mérites. »

Je déboucle lentement sa ceinture, elle n’ose même plus me regarder, je lui dis de mettre les mains sur sa tête et je déboutonne son jean… Sa respiration accélère avec un souffle plus court, je sens qu’elle va pleurer avant même la premiere tape…Je descends lentement son pantalon, là elle se ressaisit un peu puis j’attrape sa culotte, de chaque côté de ses hanches et je laisse les mains là, sans la baisser pour l’instant…
Elle ne bouge pas mais je sens qu’elle meurt d’envie de l’attraper aussi pour m’empêcher de la baisser… Elle se retient mais son visage est rouge écarlate, elle bouge légèrement son bassin, elle n’est pas à l’aise ! J’aurais arrêté là si elle avait dit stop, mais elle garde le silence. Vu qu’elle garde également les mains sur sa tête, j’en conclus que je peux continuer sans risquer de la perdre comme amie. Elle est bien décidée à recevoir cette fessée.
Je descends alors très lentement sa culotte, jusqu’aux chevilles, en prenant bien le temps de regarder sa chatte toute lisse, avec laquelle elle a pêché la semaine passée… Elle comprend bien que ce regard accusateur entre ses cuisses est une réprimande.

Elle bascule ensuite sagement sur mes genoux et je commence une fessée modérée… Elle me dit  » Vas-y, tape très fort ! j’en ai besoin pour me sentir mieux, flanque-moi la raclée de ma vie. » J’entends sa demande et je tape nettement plus fort, à la main. Je ne suis pas totalement certain qu’elle se rende compte de ce qu’on entend par raclée dans le milieu de la fessée… Je ne souhaite pas la torturer ni perdre son amitié donc je lui épargne brosse, paddle, fouet etc qui seraient pourtant en accord avec les mots qu’elle emploie.

Je lui donne une très longue fessée sévère. Je m’applique à bien faire tomber ma main sur chaque mm² de ses belles fesses douces et tendres… Elle pleure et gigotte dans tous les sens, je vois tout ! Je l’aide ensuite à se relever, puis elle s’assoit sur mes genoux et me serre dans ses bras en me disant « merci, grâce à toi ma conscience va aller mieux… Je ne pensais pas qu’une fessée faisait si mal, c’était horrible.» (La pauvre ! Si elle savait à quel point ça pourrait être pire ! ).
Je la serre fort en lui faisant un bisou sur la joue. Elle reste sur mes genoux, toujours culotte baissée (à ma grande surprise), pendant de longues minutes. Je la console en lui disant que je suis là pour le meilleurs et pour le pire, qu’elle peut compter sur moi en toutes circonstances.
Elle se relève et je remonte sa culotte, à nouveau avec un long regard réprobateur sur son sexe. Puis nous passons à autre chose, la soirée reprend son cours normal, comme si cette fessée avait été une parenthèse hors du temps, hors de ces 20 ans d’une amitié intense, complice et sincère…

Ma meilleure amie
Ma meilleure amie