Marie, la fessée tourbillon

Marie fessée par Spankmaster

Un soir de Mars 2022, il avait reçu ce coup de fil un peu pressant. Sa cousine, qui lui demandait de loger une amie, provisoirement.
« C’est mon amie d’enfance, tu verras, elle est géniale ! elle commence à travailler tout près de chez toi – le temps qu’elle trouve un appartement, ça la dépannera ! Je la connais bien, elle est discrète ! »
Il n’avait pas tellement su dire non.
Elle avait débarqué, un beau matin. Elle s’était perdue avant d’arriver : il avait dû aller la chercher, la localiser sur un marché inconnu de la ville, sous le château – le marché à la volaille.
Arrivée chez lui, elle s’était déployée : pris d’assaut son meuble à chaussures, envahi l’entrée de ses sacs, de ses manteaux. Et puis, elle ouvrait les portes, regardait tranquillement ce qui était derrière, posait des questions sur tout, le garage, les chambres… Tu parles d’une fille discrète.

– Tu veux un café ? lui avait-il demandé poliment.

Elle s’était exclamée qu’elle ne buvait que des infusions ; mais il n’avait pas cela chez lui. Elle avait éclaté de rire quand il lui avait dit, toujours gentiment, qu’il pourrait lui en acheter. Madame ne buvait pas d’infusion en sachet. Ce matin-là, sous ses yeux un peu incrédules, elle avait disparu dans le jardin à la recherche de ronces : elle était revenue avec une poignée de feuilles et d’épines, les avait bues avec délice, jetées en infusion dans l’eau qu’il lui avait fait bouillir dans une casserole.

– Et tu n’as même pas de bouilloire ? s’était-elle écriée. Mais ce n’est pas possible, cette maison !

Il avait renoncé à se justifier, s’était retourné en pensant pour la première fois que cette fille avait exactement le caractère qu’il fallait pour être initiée à une petite prise en charge gratuite et éducative.

– Qu’est-ce que c’est vide chez toi ! continuait-elle sans se douter des projets qu’il commençait à faire, lentement mais sûrement, dans son dos.  Pas une décoration, c’est trop triste !

– A part les tableaux, les objets, ça prend la poussière. Tu verras que je suis assez maniaque, à propos. J’aime quand c’est propre et rangé.

– Ah ben, oui, je remarque : regarde, ton petit cavalier tout seul, au haut de l’étagère : la toile d’araignée dedans ! Tu parles d’un maniaque ! C’est trop haut pour toi ? Prends une femme de ménage !

Elle avait éclaté de rire encore, il avait senti une envie lui monter sérieusement à la main. Un peu tôt, sans doute. Elle ne perdait rien pour attendre. Sa petite liste pour elle, pour le bon jour, était commencée dans sa tête.
Elle avait continué à tourbillonner, comme cela, pendant près d’une semaine. Ils se croisaient sans se voir beaucoup, ils n’avaient pas les mêmes horaires. Il la voyait juste assez pour constater qu’elle était toujours aussi fatigante. Ce jour où elle avait cherché pendant plus de vingt minutes la recharge de son aspirateur Dyzon, parce qu’elle ne voulait pas utiliser son aspirateur à fil… elle lui avait demandé dix fois ou était la charge, sans qu’il ne lui réponde. Et elle éclatait de rire, immanquablement, à chaque fois qu’il lui disait qu’elle était insupportable.
Un jour, l’occasion qu’il attendait se présenta sans crier gare.
Alors qu’il rentrait au petit matin de son travail, il la trouva debout. Elle ne travaillait pas ce jour-là.

– Tu peux essayer de ne pas faire de bruit, ce matin, s’il te plait ? je vais aller dormir.

– Mais oui, bien sûr ! répondit-elle sans le regarder. Elle était en tenue de yoga, elle faisait sa posture de l’arbre dans le salon.

Il ne put s’empêcher de regarder ses formes moulées au plus près dans son legging serré, ses fesses prêtes, presque déjà exposées…
Elle lui jeta un coup d’œil, pensa que son intérêt portait sur son activité.

– Viens, je t’apprends ! dit-elle. Cinq minutes de posture, si tu veux ?

Il déclina, se servit un verre d’eau. Elle vint près de lui, s’assit sur le plan de travail en se hissant avec ses bras. Il soupira.

– Tu peux ne pas t’asseoir ici ? je te l’ai déjà demandé dix fois. Et puis le coin de la hotte est très pointu, contre ta tempe, là.

– Oui, je sais que tu n’aimes pas cela ! Et cela non plus, rit-elle encore en agitant les rideaux de la petite fenêtre à côté d’elle. Oh là là ! les rideaux sont mal ajustés !

– Marie, fais attention… je ne suis pas d’humeur le matin, avant d’avoir dormi…

Il monta l’escalier, vers sa chambre.

– Ça te fait du bien ! cria-t-elle dans son dos. Je te détends un peu !

– C’est surtout une fessée qui te ferait du bien, répondit-t-il d’une voix égale, depuis le palier.

– Quoi ??

Il avait lancé cela pour tâter le terrain. Il ne répondit pas, passa dans la salle de bain. On verrait comment elle réagirait.
Il sortait de la salle de bain quand il entendit tout le raffut qu’elle faisait, en bas. Il descendit : elle déployait l’aspirateur.

– Je passe l’aspirateur, lança-t-elle sans le regarder. Ça te gêne ?

– Mais Marie, bien sûr que ça me gêne ! je t’ai dit que j’allais dormir.

– Ah bon ? Moi, aucun bruit ne me dérange pour dormir ; au travail, ça ne te dérange pas, pourtant, de somnoler, malgré le bruit !  C’est toi qui me l’as dit.

La moutarde lui montait au nez. Alors, elle n’avait rien dit pour cette première pique fessée ; il décida de continuer le jeu un peu plus loin.

– Tu sais ce que tu vas faire, Marie ? prononça-t-il d’un ton plus appuyé. Tu vas ranger cet aspirateur, aller dans ta chambre, lire, regarder un film au casque, ou ce que tu veux, mais juste, sans aucun bruit, le temps que je dorme.

– Ok, ok.

Il nota qu’elle ne disait plus rien devant un ton de voix plus direct. Bon signe. Il attendit qu’elle range l’aspirateur, la suivit dans l’escalier. Elle montait, prise dans son legging ; sa tenue lui sauta une nouvelle fois aux yeux : ses fesses à portée de main. Il eut une bouffée d’envie de la déculotter, de lui flanquer enfin une de ces fessées… 

Il passa dans sa chambre.

– A tout à l’heure. Pas de bruit, hein !

Elle se campa soudain devant sa porte, mit ses deux mains sur les hanches.

– Sinon ? dit-elle en le regardant avec un sourire narquois, sous son regard provocateur.

Alors, ça y est, elle le testait ! Ça ne l’avait donc pas laissée indifférente, ce petit début. On allait s’amuser : si elle savait, que c’était sa passion…

– Sinon, tu l’as très bien compris : c’est la fessée, martela-t-il.

Elle éclata de rire

– Ouh là là ! ça ne plaisante pas dans la maison !

– Déculottée, rajouta-t-il en la fixant.

Elle eut quelque chose qui s’alluma dans son regard. Elle était mûre, les règles étaient fixées ; il comprit qu’elle avait envie. Il décida de l’attiser encore un peu, lui tourna le dos, rentra dans sa chambre et attendit. Pas longtemps. Il entendit la porte de sa chambre se fermer, plutôt bruyamment ; une minute à peine, et un bruit de porte de nouveau : elle sortait, passait dans la salle de bain. Une minute encore, elle ressortit et claqua cette fois franchement la porte. Il ouvrit la sienne, brusquement ; elle sursauta juste devant lui, elle ne s’attendait pas à ce qu’il sorte si vite.

– Bon, Marie, ça suffit : qu’est-ce que tu fais ?

– Je ne sais pas, je n’ai rien à faire ! Tu ne dors toujours pas ?

– Non, tu vois, ça fait trente minutes que je suis rentré, que j’ai envie de dormir, que je ne peux pas à cause de toi : il est grand temps que je te punisse. Tu vas l’avoir, cette fessée.

– Essaie toujours ! et puis en n’ayant pas dormi de la nuit… tu auras deux mains gauches, non ?

Alors là, si cette provocation n’était pas une manière de lui demander sa fessée, il n’y connaissait plus rien !

Il lui saisit le bras sans lui laisser le temps de finir, la pencha, debout, en l’enserrant complètement contre lui. Il vit un très court instant ses fesses qui se tendaient et se crispaient à la fois dans son legging, juste à portée de main, et lui asséna quelques premières claques vigoureuses, sur la finesse du tissu élastique qui la protégeait à peine.

– Ça tombe bien, Marie l’insolente, je suis gaucher, figure-toi.

Il nota qu’elle ne se débattait pas, continua de manière appuyée. Elle ne disait plus rien.

– Eh bien, tu sais quoi ? lâcha-t-il soudain, en la relâchant. Puisque tu as l’air de reconnaître que ce petit début de correction était mérité, on va aller plus loin.

Elle se frottait les fesses devant lui, il la prit par le bras, la conduisit dans sa chambre. Elle se dégagea d’une secousse, un peu vexée, se refugia dans l’angle de la fenêtre quand il s’assit sur le lit. Il lui fit signe de venir.

– Allez viens là. Une vraie fessée, ça se donne allongée sur les genoux, et déculottée.

– Quoi ? Non, mais ça ne va pas ? Pervers !

– Ça te fera peut-être réfléchir à ne pas tourbillonner chez moi quand je te demande juste du calme. Viens t’allonger. Tout de suite. Tu vas la recevoir de toute façon, cette fessée, je t’avais prévenue.

– Bon, ok, je m’excuse, c’est vrai que je suis chez toi ; je vais faire un effort, je te promets.

– Oh oui, tu es chez moi, et si tu veux continuer à profiter du toit, il va falloir comprendre les règles de la maison, de manière plus claire. Tu viens ici. 

– Non, mais je me suis excusée ! c’est bon, la blague a assez duré.

Elle protestait, mais il savait que c’était pour la forme, qu’elle la voulait jusqu’au bout, sa fessée. Elle restait tapie dans l’angle, à guetter ses réactions ; elle ne comptait pas s’enfuir. Juste résister.

– Tu seras excusée, après ta punition. Plus tu attends, plus tu allonges le temps de ta fessée, je te préviens. Tu viens gentiment t’allonger sur mes genoux et je serai plus indulgent.

Il lui faisait signe de la main, tapotait son genou droit.

– Non.

Il jaillit du lit, la saisit par le bras, la coucha sur ses genoux. Elle ne disait plus rien ; elle ne se débattit même pas et encaissa sans une protestation lorsqu’il recommença la fessée, pas trop fort pour ne pas l’effrayer, sur son legging bleu-gris à motifs de plantes et d’oiseaux de mer.
Le rythme était lancé, régulier ; le bruit de la fessée montait avec un son mat dans la chambre, étouffé par le tissu qui lui protégeait encore les fesses. Elle ondulait sur ses genoux, elle se taisait toujours, se mouvait pour essayer de lui échapper, mais ne résistait pas. Elle aimait ce moment, il en était sûr, il l’entendait à sa respiration, le sentait aux mouvements de son corps sous lui. Elle avait posé sa main sur son genou à un moment, comme pour se redresser, mais il n’avait pas même eu besoin de l’entraver, de la retenir. Elle prenait sa fessée sans broncher.
Il lui asséna plus d’une centaine de claque, et comme elle semblait bien endurer, passa à la suite.

Il s’interrompit, baissa son legging.

Elle eut un petit gémissement, la tête cachée dans la couette blanche dans laquelle elle s’enfonçait, mit sa main sur ses fesses pour les protéger. Il lui avait déjà saisi le poignet, et retenant son bras plié, il le reposait sur le bas du dos pour ne pas être gêné. Il nota la jolie couleur déjà rougie de ses fesses, la peau chauffée sous ses sous-vêtements féminins. Elle faisait dans la dentelle, la petite Marie. Ce n’était pas pour lui déplaire. Il ne se laissa pas distraire, reprit le rythme lancé.

Cette fois, la fessée résonna avec un beau bruit claquant autour d’eux. Les choses sérieuses pouvaient commencer. Une petite centaine de claques de nouveau, elle se tortillait un peu plus, mais résistait bien. Il s’interrompit de nouveau, entreprit de la déshabiller : il avait noté qu’elle portait un body sous son legging de yoga. Elle devait penser que cela la protégerait, le dissuaderait de mettre sa peau à nue. Mais il passa ses doigts un peu plus bas, ouvrit les attaches sans peine, et écarta le tissu du body tandis qu’elle essayait de se protéger de nouveau de sa main laissée libre.

Il lui asséna dix claques plus appuyées, plus rapides, pour qu’elle lâche prise, et tout en retenant sa main de nouveau, baissa sans attendre sur ses cuisses sa jolie culotte noire et dentelée.

Il poursuivit sans répit, à même la peau, sur le rouge marqué des fesses. Elle continuait à onduler, à se protéger parfois de sa main ; elle vint même se protéger de son pied, repliant sa jambe vers ses fesses. Il repoussa sa jambe, entrava son corps contre lui, la main passée sous ses hanches, et la maintenant bien en place, changea de rythme : plus lent, plus marqué. Il l’entendit souffler, s’interrompit, caressa un instant ses fesses brûlantes.

Elle ne se dégagea pas, ne se releva pas ; elle attendait, suspendue elle aussi. Il n’en avait pas tout à fait fini avec elle, et puisqu’elle semblait d’accord pour continuer plus avant…

Il reprit son rythme de croisière ; elle ne se protégeait même plus de sa main, consentait à la suite du châtiment. Il continua sans se lasser, puis accentua enfin la dernière salve, une centaine de claques en un élan plus rapide, plus marqué. Elle la reçut en s’abandonnant. Et comme il suspendait sa main, terminant la fessée, elle resta étendue sans mot dire, sans se redresser.

Elle n’avait pas ouvert la bouche une fois. Calmée, Marie l’insolente.

Il la laissa reprendre ses esprits, caressant doucement la chaleur qui irradiait la peau de ses fesses. Une couleur rouge uniforme était répandue sur sa chair offerte. Elle ne bougeait toujours pas : même quand il lui fit signe de se relever, en lui donnant à deux ou trois reprises deux claques brèves sur les fesses, elle ne réagit pas.

– Profite, Marie, prononça-t-il enfin, si tu te sens mieux : voilà ce que c’est, une vraie fessée traditionnelle, bien méritée… ce ne sera pas ta dernière, je peux te l’assurer, si tu continues à me chauffer la main par tes petites piques d’insolente.

Elle ne répondit rien, la tête enfouie dans la couette blanche ; il continua.

– Donc, notre pacte de ce jour : soit cela ne t’a pas plu de recevoir cette fessée, auquel cas tu prends tes affaires, tu pars vivre ailleurs, et tout cela restera entre nous.

Il fit une pause ; elle ondula un peu, toujours étendue sur ses genoux, les fesses brûlantes sous sa main.

– Soit, comme j’en ai l’impression, ce n’était pas pour te déplaire, cette petite correction ; auquel cas, libre à toi de rester vivre ici, en sachant à présent qu’à la moindre accumulation de provocations assumées, d’incartades affichées, on règlera cela, ma main avec tes fesses. Je n’aurai plus qu’à t’emmener à l’étage, te basculer sur mes genoux, et baisser ta culotte pour te donner une longue fessée, rythmée, brûlante, bruyante… et je t’assure que j’adore cela ! Compris ?

Elle hocha de la tête ; il la fit se relever, se mit debout. Elle frottait de nouveau ses fesses devant lui.

– Pas de coin pour aujourd’hui, parce que c’est la première fois ; et que j’ai envie d’aller dormir. Je te laisse la matinée pour réfléchir à notre pacte. Et sans bruit !

Il quitta la chambre sans lui laisser le temps de répondre, referma la porte sur lui.

Elle allait rester ; il le savait.

Il allait pouvoir enfin dormir, dans la belle perspective de ces moments cuisants à venir – ah, la fessée à domicile ! il allait se mettre à aimer sérieusement le yoga, et ses tenues.