Nouveau départ

Alice fessée par SpankMaster

Alice est une jeune fille aux yeux de chat. Passionnée de fessée, elle joue régulièrement avec moi depuis 4 ans. Elle n’est pas étudiante et ne s’est pas lancé de défi à relever, je ne suis donc pas son coach. Nous pratiquons plutôt la fessée pour le plaisir, au travers de petits scénarios. Ma pratique de la fessée est donc très différente avec elle de ce que j’ai fait jusqu’à présent avec les autres filles.
Exceptionnellement dans ce récit, il ne s’agit pas d’un scénario mais de notre première rencontre, à l’hôtel.

Nous sommes en 2016, après quelques mails échangés au sujet de la fessée et un feeling qui passe bien, nous décidons de nous rencontrer pour passer à la pratique. De façon tout à fait inhabituelle, nous nous donnons rendez-vous directement à l’hôtel, sans prendre de verre avant.
Cet endroit peut paraître parfait pour pratiquer la fessée, pourtant c’est souvent mal insonorisé et nul doute qu’une bonne partie des résidents entendent le bruit assourdissant de cette pratique.

Arrivés dans la chambre, après quelques mots pour détendre l’atmosphère, je m’assois sur le lit et Alice s’allonge naturellement sur mes genoux. Manifestement, contrairement aux autres amatrices, ça ne la stresse pas ! Elle porte une robe noire et une culotte blanche en coton.

Ne connaissant absolument pas ses limites, je commence une fessée très modérée sur sa robe… Sa réaction ne se fait pas attendre « Je ne sens rien, vas-y beaucoup plus fort ! ».
Bon, pas de problème, ses limites semblent assez élevées, ce qui doit expliquer aussi son absence de stress, elle sait qu’elle peut encaisser sans problème. Je
relève sa robe et fesse bien plus fort : elle ne bouge pas, ne bronche pas. Impressionnant ! D’habitude avec une fessée de cette sévérité, les autres gigotent dans tous les sens et crient, mais pas elle. Pire, elle se permet de fermer les yeux, donnant l’impression qu’elle dort… Agacé, je baisse sa culotte et tape encore plus fort, frustré par cette impression qu’elle ne sent rien. Elle ne bronche toujours pas. Ma main en revanche, ressent particulièrement bien la douleur ! Dieu merci, j’ai amené ma valise pleine d’instruments. Je vais proposer un peu de paddle, prétextant de varier les plaisirs, la réalité étant que ma main ne peut plus ! C’est la première fois que ça m’arrive, d’habitude ce sont leurs fesses qui disent stop !
– « Ne crois pas que je vais te laisser dormir pendant la fessée »
– « Je ne dors pas, je ferme les yeux pour apprécier chaque tape »
– « On peut tester le paddle si tu veux apprécier la chaleur qu’il dégage sur les fesses »
– « D’accord ! »
Heureusement pour ma main, Alice accepte ma proposition ! Ce qui m’inquiète c’est qu’elle semble accepter sans crainte, sans hésitation, comme si le paddle lui paraissait encore trop doux… Quelques instants plus tard le paddle se déchaîne sur ses fesses fermes, qui ne veulent toujours pas danser…
Nous varions ensuite les plaisirs : fessée diaper à la main puis à la brosse, de la canne penchée sur le lit, à nouveau à la main OTK… Après une série de longues fessées sévères, j’arrive enfin à lui sous-tirer un cri avec le paddle ! Ouf ! Moi qui commençais à penser qu’elle n’avait aucun nerf dans les fesses !

Puis, de façon assez inattendue, nous tombons d’accord sur le fait que la lumière naturelle dans cette chambre est extraordinaire et qu’on devrait en profiter pour prendre des photos. Par chance, mon appareil photo est toujours dans la valise. C’est bien la première fois aussi que je fais des photos dès le premier rendez-vous ! Décidément, cette fille est hors du commun ! C’est précisément à la suite de cette séance que j’ai décidé de changer la direction artistique de mes photos. Adieu les gros plans grossiers sur l’intimité des filles ! Pendant 3 ans, ces nouvelles photos, plus esthétiques, moins hard, vont cohabiter avec les anciennes, sur mon site www.la-fessée.fr. Ce n’est qu’en mai 2020 que tout change, avec la mise en ligne de ce nouveau site, en partenariat avec Alice qui s’est occupée de sa conception.

Alice est devenue une amie qui m’est chère, une amitié dans laquelle la fessée a évidemment sa place. Les jours passés ensemble sont toujours claquants, je lui donne les fessées dont elle a continuellement besoin. Ma main n’en sort jamais indemne !